Les difficultés de la princesse Charlène ont commencé dès sa naissance. Sa mère, Lynette Wittstock, lui a donné naissance environ huit semaines plus tôt, ce qui a causé beaucoup de stress à la famille. Dans une interview avec le Courrier quotidien, la grand-tante de la princesse, Jacqueline, a réfléchi à combien cette période était difficile. « Nous avons vu (Charlène) à l’hôpital Mater Dei, juste avant de quitter (le pays). Elle était une petite chose rouge dans une grande vitrine avec des tuyaux partout. C’est incroyable qu’elle soit devenue si en forme et si forte. »
Malgré le défi de venir au monde trop tôt, bébé Charlene a pu se battre pour sa vie. Comme son père, Mike Wittstock, le dira plus tard à la publication française Paris-Match« La première fois que je l’ai vue, elle était dans une couveuse et les infirmières m’ont dit : ‘Votre petite est très coriace.’ C’était en 1978, lorsque le pays s’appelait encore Rhodésie du Sud. Elle est née deux mois prématurément et a survécu. Selon Wittstock, ce sentiment précoce de ténacité a défini la personnalité de Charlene au fil des années. « Et c’est comme ça qu’elle a toujours été tout au long de sa vie : une fille très forte avec une volonté de fer », a-t-il déclaré.
Il est intéressant de noter que cette expérience aurait un impact profond sur la princesse. Lorsque Charlene a accueilli prématurément ses propres enfants, les jumeaux le prince Jacques et la princesse Gabriella, elle a trouvé de la force dans sa propre histoire, en racontant Paris-Match« J’étais beaucoup plus petit et plus fragile qu’eux. »